La vie est belle
Dans ce blog, je vais vous faire part, en critique, du film «la vie est belle» une réalisation de Roberto Benigni. Roberto est aussi l’acteur principal jouant son personnage Guido : un homme une peu bête, mais avec beaucoup de cœur.
L’histoire commence dix ans avant la deuxième guerre mondial, Guido est son fidèle compagnon Bartolomeo arrive en Italie où ils feront la rencontre de Dora. Dora tombera follement amoureuse de Guido et des ses manières séduisantes. Après s’être battu pour obtenir la main de sa bien aimée, Guido et Dora auront un enfant appelé Giosué qui, dix ans plus tard, sera la fierté de son père. Dix ans se son écoulé et l’oppression des juifs se fait sentir. Alors que Dora reviens de travailler, son mari et son fils son parti pour le camp de travaille de l’armé allemande. Follement amoureuse, Dora renonce à sa religion et est emmener dans le camp pour femme de l’Allemagne. Durant presque la moitié du film, Guido essaye de persuader son fils que le camp de concentration est un jeu et qu’il faut qu’il fasse tout pour survivre. Guido passe des mois entier dans le camp avant que la guerre ne finisse et que les allemands sortent du camp laissant les juifs dans l’horreur de la guerre. Guido, qui déborde d’amour, se sacrifie pour que sa femme et son fils puisse survire et vivre une vie heureuse.
C’est la base de l’histoire et c’est avec grand désespoir que j’ai écouté un film qui ne rentre pas du tout dans mes cordes. Moi, comme vous avez pu le remarquer, je préfère les films d’horreur mettant de l’avant des morts-vivants affamé de chair humaine. Mais, ça ne change pas le fait que j’ai quand même apprécié le film sans cacher le fait que je l’ai trouvé vraiment «fucker». (Ou en bon français : bizarre). «Au début, je trouvais que le film avait un ton humoristique que l’on retrouve les plus souvent dans les comédie, mais au fil de l’histoire, on rencontre du drame et c’est à ce moment que je me suis rendu compte que je n’écoutais pas une comédie, mais un film tiré d’une réalité. C’est aussi à ce moment que j’ai commencé à apprécier une peu plus le film et en tirer des leçon de vie.
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